5 cartes qui me manquent depuis l’année du mammouth – Hearthstone

5 cartes qui me manquent depuis l’année du mammouth – Hearthstone

2017-05-18 0 Par Mellow

L’année du mammouth est apparu en avril 2017 et deux aventures qui auront su changer la méta d’une façon plus qu’importante (le Trogg des tunnels ne me manque pas d’ailleurs).

Voici donc 5 cartes qui me manquent terriblement (certaines ont rejoint le panthéon des légendes) :

-Ragnaros, le seigneur du feu : Tout simplement la carte la plus polyvalente (après Docteur boom pour ceux qui l’auront connu). Ragnaros posait une pression si oppressive sur le board qu’il était impossible de l’ignorer. Il fallait tuer Ragnaros au plus vite, sinon c’était la fin.

-Reno Jackson : Ce bon vieux Reno a eu droit à son propre style de jeu, un seul exemplaire de chaque cartes par deck pour qu’il fasse effet. Et  pas n’importe quel effet, il vous soignait entièrement. Jouer Reno c’était la garantie d’une temporisation importante et une seconde vie qui vous permettait de gagner votre partie.

-Empereur Thaurissan : la carte la plus rentable de Rochenoire. C’est simple, Thaurissan vous assure une main surpuissante et des combos ravageurs. Il était joué dans tous les decks contrôle, combo et miracles. Un nain bien agréable à avoir de son côté mais tellement détestable à avoir en face. Avec sa disparition, les combos Malygos meurent aussi. Tristesse.

-Sylvanas : La reine banshee était la meilleure carte pour le tour 6. Une pression de dingue et un contrôle de board extrême. L’une des cartes incontournables jouable dans quasiment tous les decks (même certains agros). Une perle rare qui s’en va au loin dans les terres sauvages du mode Wild.

-Golem totemique : cette carte a pour moi donné un boost monstrueux au Chaman qui était alors la pire classe du jeu. Et le petit golem arrive et donne un early de malade au Chaman lui donnant une capacité de contrôle de board en début de partie plus qu’indispensable pour ce qu’était le Chaman à ce moment.

 

Voilà donc pour moi les 5 portées disparues qui me manquent le plus. RIP in pepperoni.

 

Sur ce je vous dis à la prochaine, TCHUSS !