Coup de cœur rétro #5 : The Legend Of Zelda : Majora’s Mask

Aujourd’hui c’est le retour des coups de cœurs rétros avec  le numéro 4. Je vais parler d’un jeu sorti  sur Nintendo 64, un jeu à l’ambiance lourde et au sous texte riche. Je vais vous parler du jeu qui m’a foutu une trouille bleue  quand j’étais gamin. Je vais vous parler de The Legend Of Zelda : Majora’s Mask.

Voilà un jeu qui devrait vous dire quelque chose tant on en a entendu parlé. Le jeu en question est sorti le 17 novembre 2000 dans nos contrées européennes et c’était déjà une révolution en terme de gameplay et une prise de risque considérable de Nintendo d’aborder des sujets aussi adultes. Oui car Majora’s Mask  est sans conteste l’épisode de la saga le plus adulte tant par son scénario et son ambiance général .

Ce dernier prend place juste après Ocarina Of Time. Link après avoir battue Ganondorf perd la trace de son amie fée Navy. Il parcourt alors le monde à sa recherche. Alors que tout semblait calme dans la forêt qu’il parcourait sur le dos d’Epona, deux fées sortirent de nul part ! Elles firent peur à Epona qui cabra et fit tomber Link à la renverse. Un jeune garçon apparut alors portant un étrange masque. Le jeune enfant fouilla Link, lui prit son Ocarina avant de détaler sur le dos de la jument de Link. Ce dernier s’accrocha au jeune garçon mais en vin. Il fini par lâcher prise. Malgré tout Link continue de poursuivre le jeune enfant jusqu’à tomber dans un immense fossé. Je ne vous en dis pas plus pour ne pas gâcher l’intrigue. 

Mon avis :

Le jeu est prenant du début à la fin, la limite de temps imposé de trois jours rend le jeu encore plus intense. Tout y est très bien orchestré, que ce soit la musique, le rythme, le scénario, l’intrigue et l’ambiance. D’ailleurs parlons de l’ambiance. Le jeu est angoissant des les premières minutes, sans parler que lorsque vous arrivez au Bourg Clocher une Lune énorme surplombe la région de Termina et compte s’écraser dans les fameux trois jours ! Tout est fait pour mettre la pression et personnellement lors de ma première partie je n’ai pas pu tout faire d’une traite tellement l’atmosphère y était pesante. Ce jeu m’aura certainement marqué au fer rouge et encore aujourd’hui des marques se font sentir. Certaines musiques me filent toujours des frissons  et cette lune me fou le traxir à chaque fois que je la vois. L’antagoniste de ce jeu Skull Kid est d’un charisme débordant et la classe est à son paroxysme. Même si au final on apprend plus tard que seul le masque que portait Skull Kid avait pris le contrôle de ce dernier afin de pouvoir se venger du monde.

Le jeu est bon pour tout cela et même s’il m’a fait flipper toute mon enfance, il n’en reste pas moins LE jeu de la N64. Oui je le conseille vivement à tous ceux qui ne l’auraient pas fait. C’est un chef-d’oeuvre vidéo-ludique à part entière. Merci à toutes et tous de m’avoir lu

DebKazu Out!