Test : Dragon Ball Xenoverse

Pour rappel avant de débuter ce test :

• Ce dernier est purement subjectif, bien que j’essaye de garder un minimum d’objectivité, il s’agit avant tout de mon avis.
• Les DLC ne sont pas pris en compte pour le test.
• Mon avis se base sur la version Xbox One.
• Mon avis se base sur les deux races que j’ai joué, à savoir un Sayan et un « démon du froid » (ou race de freezer) nommés respectivement Aizen et Blizzard.
• 99% des images utilisées proviennent de ma Xbox One.

 

 

Dragon Ball Xenoverse : un semi-MMORPG sorti en 2015 par Namco Bandai. Ce jeu se voulait comme le plus intéressant sur console de salon depuis le génial Dragon Ball Z : Tenkaichi 3, qui date tout de même de 2007, sorti à l’époque sur Playstation 2 et Wii.
Après les multiples déceptions des adaptations en jeu vidéo du manga culte de Toriyama (le meilleur jeu Dragon Ball sur console de salon HD étant tout de même Raging Blast 2, sorti 5 ans auparavant), Dragon Ball Xenoverse relève-t-il le niveau ou est-ce une déception de plus ?

I) L’aspect MMO :

Le choix de votre race est déterminant pour la suite de votre aventure

Après la superbe introduction avec « Cha La Head Chala », générique de l’animé, chanté par le groupe Flow, ceux ayant travaillé le générique pour le film Battle of God, nous voici au menu principal.
Une fois ce menu franchi, vous aurez directement le choix entre 5 races de personnages :

• Les Terriens, qui ont des statistiques équilibrées, autant en attaque et en défense, et ayant comme faculté de récupérer automatiquement leur Ki. Leurs attaques sont plus puissantes si elles sont au niveau maximum.

• Les Nameks, qui ont une attaque faible, mais une grosse santé et qui récupèrent rapidement leur endurance. Les objets sont plus efficaces sur eux, et peuvent régénérer leur santé.

• La race de Freezer, qui possède une vitesse élevée mais une attaque assez faible. Leurs Kikohas paralysent leurs ennemis, et ils ont la capacité d’augmenter leur vitesse si leur santé est faible.

Une race que je vous conseille vivement

• Les Sayan, qui possèdent une santé faible mais des attaques puissantes. Leurs attaques augmentent si leur santé est faible, et leurs statistiques sont augmentées si ils sont réanimés.

 

• Les Majin, qui ont une défense élevée mais une récupération lente de l’endurance. Leur défense est augmentée si leur endurance est au maximum. Selon le choix du sexe de votre personnage, ses statistiques varieront.

 

A noter que seuls les Majin, terriens et Sayan possèdent le choix du sexe de votre personnage.

Mais la limite ne se pose pas que là : le système de personnalisation est banal, voir trop banal. Ce dernier est en effet très limité : vous ne pouvez modifier que quelques détails, et votre coupe de cheveux (si vous en possédez une) appartient forcément à un personnage déjà présent dans Dragon Ball. Dernier détail : seul quelques détails du visage, la corpulence et la taille sont modifiables.  Au final, les avatars se ressemblent à peu près tous, seules les accessoires et tenues modifient un poil leurs apparences.

Une personnalisation peu complète

Le jeu vous propulse dans la ville de Tokitoki, remplie après quelques missions principales, des avatars d’autres joueurs. Sur console HD, malheureusement, le fait d’afficher tous ces personnages ralentis la console, vous aurez tendance à désactiver le mode en ligne, limitant donc les avatars des autres joueurs à des simples PNJ avec lesquels vous ne pouvez avoir aucune interaction. Sans mentir, nous sommes ici en plein remplissage pour que la carte n’ait pas l’air si vide que cela. Leurs seules utilités ? Vous pourrez les recruter, dans votre équipe, afin de faire des quêtes parallèles en coopération, ou bien combattre dans le bureau des combats en lignes.

Goma perdu dans une ville pas si grande

Un autre désavantage que possède Dragon Ball Xenoverse, c’est le manque d’immersion dans la ville, en dehors du scénario. Car en effet, Tokitoki est vraiment trop petite. Elle est composée de seulement quatre zones :

• Le quartier industriel/marchand.
• Le port des machines temporelles, où vous trouverez les différents bureaux pour les quêtes ou les combats.
• Le champ du temps, où vous trouverez le bureau pour les différents Tenkaichi Budokai, le socle ou vous devrez poser vos Dragon Ball pour invoquer Shenron, ainsi que la porte pour l’accès au temple.
• Le nid du temps, où vous trouverez le temple, qui vous permettra de revivre les missions principales, et, avant que vous ne finissiez le scénario, Trunks qui vous donnera vos quêtes.

Mais ce petit secteur souffre d’un autre handicap : le manque de vie.

En effet, malgré l’abondance des avatars d’autres joueurs, les PNJ incorporés par le jeu ne servent, pour 99% d’entre eux, absolument à rien, si ce n’est avoir une simple ligne de dialogue. Le quartier marchand est assez rempli, les magasins sont assez nombreux, et le nombre de PNJ est conséquent, mais à quoi sert un tel nombre de PNJ ? Absolument à rien, et même si la plupart des MMO sont dans cas-là, beaucoup arrivent à créer une véritable ambiance. Or, ici, nous manquons cruellement de vie, d’ambiance, et donc tout cela ne nous immerge pas totalement.

La plupart des PNJ utiles sont des personnages principaux qui viennent vous demander des quêtes, mais qui disparaissent une fois les quêtes effectuées.

Vous avez bien un semblant d’interaction avec le chat et les pauses que vous pouvez prendre, mais cela est plus de l’ordre de la décoration ou de la référence. Cependant ça donne un aspect assez sympathique au jeu, qui gère très bien son fan service.

Les poses : éléments sympathiques, mais un peu gadget

II) Le scénario :

Parlons du plus gros avantages de Xenoverse : le mode histoire.

Contrairement aux autres jeux Dragon Ball qui se contentaient de retracer le manga, ici VOUS êtes le héros. Vous êtes un patrouilleur du temps, emmené à Tokitoki par Shenron. Votre but ? Rectifier l’histoire de Dragon Ball, car deux entités maléfiques semblent bien décider à modifier le cours de l’histoire, et à faire mourir nos héros.

 

 

Cell remporte le Cell Game alors que Gohan n’a même pas eu le temps de se transformer…

 

Ainsi, de la saga Saiyan à Buu, prenant même en compte Battle of God, vous ferez progresser votre personnage dans divers décors bien connus de tout fan de Dragon Ball, mais qui permettra aussi aux néophytes de découvrir ce magnifique univers.

Blizzard aide ici Goku à vaincre Freezer à 100% de sa force alors que la puissance de ce dernier est anormalement grande…

 

Sans vous mentir, je trouve que ce scénario est de loin le meilleur, tous jeux Dragon Ball confondus : en plus d’introduire de nouveaux antagonistes (pas si nouveaux que ça, vu qu’ils apparaissent dans le jeu Dragon Ball Online, sorti uniquement au Japon, mais on peut dire qu’ils sont « nouveaux » en occident) et de nouveaux enjeux, le mode histoire n’est ni trop simple, ni trop compliqué.

Astuce : pensez à faire les quêtes parallèles  en annexe pour mettre votre personnage à niveau, notamment avant la saga Cell, qui est sans aucun doute la plus difficile.

 

Seulement, il n’y a qu’un point noir, mais qui est tout de même considérable : le roster.

Car énormément de personnages manquent à l’appel, supprimant purement et simplement pas mal de parties du scénario. Ici, pas de Zabon, Dodoria, C-16, Dabura, ou bien encore la 1^ère et seconde forme de Cell, les différentes absorptions de Super Buu, ou autres transformations de freezer manquent aussi à l’appel. Bien que le roster ne soit clairement pas un point central, l’action étant bien plus centrée sur votre avatar, cela compense avec ces parties manquantes.

A noter que même si le mode histoire est un peu court, vous trouverez deux sagas bonus en récupérant les 7 fragments du temps : la saga Baddack et la saga du super sayan Légendaire.

 

 

III) Le jeu :

Parlons maintenant gameplay et système de jeu.

Avant de parler du gameplay, il me paraît obligatoire de vous parler du système de jeu qui est ma foi fort sympathique, mais tout de même très classique.

1. Le système de jeu :

A- L’équipement de votre personnage :

Votre personnage est un vrai héros de MMO. Ainsi, votre armure ou votre revêtement est un atout de taille. Personnaliser la tenue de votre personnage permet d’augmenter certaines statistiques, comme la santé, le Ki ou votre attaque. Donc choisissez-bien, votre tenue n’est pas que cosmétique.

Le menu de personnalisation de la tenue

 

Vous pouvez l’équiper de 4 objets, objets qui peuvent se révéler très utiles dans les missions difficiles. Ces objets s’obtiennent soit en les achetant dans les boutiques d’objets, soit en les gagnants dans des quêtes parallèles ou soit en combinant certains objets à partir de recette. Ces objets prennent diverses formes :

• Des objets de soin personnel
• Des objets pour monter votre Ki
• Des objets pour monter votre endurance
• Des objets qui peuvent aider toute l’équipe

 

Passons maintenant aux techniques. Vous pouvez attribuer 4 techniques principales, 2 techniques ultimes et une technique d’évasion. Regardons cela de plus près :

• Les techniques principales ne consomment que peu de Ki et provoquent quelques dégâts à votre adversaire (Exemple : Big Bang Attack, Kaméhaméha ou Masenko).
• Les techniques ultimes sont les attaques de Ki les plus puissantes, elles consomment plus de Ki mais infligent de lourds dégâts à l’adversaire. (Exemple : Final Flash, Makkankosapo, Supernova).
• Les techniques d’évasion ne consomment pas de Ki, mais votre endurance. Une technique d’évasion vous permet de vous libérer d’une situation compromettant en repoussant votre adversaire ou en vous propulsant en arrière. Elle est indispensable et très utile.

Astuce : je vous conseille l’excellente technique d’évasion « Balle roulante » qui est vraiment très efficace.

 

Mais comment obtenir ces techniques ? Eh bien, vous avez plusieurs moyens. Vous pouvez soit les farmer dans des quêtes parallèles, certaines techniques seront très difficiles à obtenir, ou alors vous pouvez les acquérir auprès de maîtres.

B- Les maîtres et Ame Z :

Les maîtres tiens parlons-en. Voici sans aucun doute l’un des points forts du jeu.

Adressez-vous à votre futur maître, accomplissez une quête et votre entraînement commence !

Vous aurez la possibilité, en progressant dans l’histoire et en expérience, de devenir l’élève de plusieurs maîtres. En tout, 12 maîtres vous proposeront de vous entraîner :

• Son Goku
• Vegeta
• Piccolo
• C-18
• Krillin
• Son Gohan et Videl
• Ginyu
• Frieza
• Cell
• Beerus
• Mr Satan

Des maîtres divers et variés

 

Ces maîtres vous apprendront au fur et à mesure plusieurs de leurs techniques phares, celles pour lesquelles ils sont connus dans l’univers de Dragon Ball. Ainsi, vous pourrez apprendre des techniques surpuissantes. Mais ce n’est pas le seul avantage : en combat, lors de quelques occasions, si vous utilisez la technique ultime de votre maître avec l’affinité au maximum, votre attaque sera boostée. Il se peut même que dans de très rares occasions (ça ne m’est arrivé qu’une seule fois avec Piccolo), votre maître intervienne en pleine mission pour venir vous aider.

Aizen et Blizzard avec leurs maîtres maléfiques

Et enfin, dernier avantage : de temps en temps, lorsque votre niveau d’amitié est au maximum avec votre maître, un point d’interrogation vert apparaîtra, signe que vous pouvez avoir accès à un ultime combat contre votre maître, avec à la clé une Âme Z de niveau 5. Vous avez donc tout intérêt à essayer les différents maîtres de Dragon Ball.

Lorsque vous voyez ce point d’interrogation, foncez !

Mais tout n’est pas rose au paradis : les maîtres ont quelques défauts. Déjà, ils ne sont pas assez nombreux. 12 maîtres, vus la myriade de personnages qui pourraient vous apprendre des techniques surpuissantes, et surtout spécifiques (pas de Majiin Buu en maître pour votre Majiin??) à chaque personnage. Cela peut s’expliquer par un fait très simple : monter le niveau d’amitié avec vos maîtres et une torture : il vous faudra farmer pendant des heures pour obtenir le niveau d’amitié maximum avec chaque maître. La seule astuce que je peux vous donner pour monter rapidement est de farmer des quêtes pas très difficiles, et d’obtenir des rangs Z en continu, mais encore une fois, à la fin du jeu cela devient plus une corvée qu’autre chose.

 

Je tiens à parler des âmes Z. Ces dernières s’attribuent dans le menu des techniques, et les effets changent d’une âme Z à l’autre. Obtenir les Âmes Z les plus puissantes est extrêmement difficile, et il vous faudra beaucoup de patience pour obtenir les plus puissantes des Âme Z. C’est une bonne idée en soi mais le déséquilibre que cela engrange dans les combats en ligne et réellement présent. Vous pouvez les obtenir soit auprès de vos maîtres, soit dans des quêtes parallèles, soit avec des recettes.
Conseil : personnellement, vu que je ne joue que très peu en ligne, je vous conseillerai l’Âme Z : « Meurs » qui vous redonne de la vie à chaque ennemi battu.

Dernier point avant de passer au gameplay : le système d’attribut. À chaque montée de niveau, vous gagnez 3 points d’expérience. Vous pouvez les attribuer dans la catégorie que vous voulez, cela augmentera drastiquement les statistiques de votre personnage. Je vous déconseille de faire un personnage équilibré dans toutes les statistiques, car il sera vraiment compliqué de progresser dans ce cas-là. À vous de choisir si vous préférez orienter votre personnage dans les Super Kikohas, pour les attaques ou distance, ou faire un bourrin, spécialiste du corps-à-corps.

A vous de choisir quel style vous convient le mieux.

2) Le gameplay :

Nous allons donc rentrer dans le cœur du sujet.

Pour illustrer mon propos par rapport au gameplay, voici un extrait d’un combat de mon personnage contre Freezer dans la quête parallèle numéro 15 : « Explosion de Namek » :

 

Comme vous pouvez le voir, le gameplay est assez dynamique : le combat est énergique et s’enchaine assez vite. Peut-être trop vite. Car le jeu souffre cruellement de quelques aspects de gameplay qui handicape vraiment l’expérience. Tout d’abord, la caméra pourra parfois vous donner quelques difficultés, étant parfois anarchique dans certaines situations. Le système de verrouillage n’aide pas beaucoup, étant également assez hasardeux, pas catastrophique, mais tout de même très capricieux. D’ailleurs, puisque l’on parle de verrouillage, parlons des portails. Ces derniers vous permettent de vous rendre de lieu en lieu dans les quêtes parallèles. Ces derniers sont impossibles à localiser sans détecteur, ainsi vous vous baladerez dans la carte sans savoir ou aller, et pour peu que vous soyez dans une grande carte, impossible de savoir où aller exactement.

Conseil : ne faites pas comme Vegeta, gardez TOUJOURS votre détecteur.

Ensuite, parlons du combat en lui-même, car le verrouillage ne fait pas tout. Et bien pour le coup, pas de surprise : les combos sont efficaces, enchaînement se fait bien, mais quelques points noirs surviennent… À titre purement subjectif, je ne trouve pas que l’on ressente l’impact et la puissance des coups. Peut-être que la quasi-absence des destructions de décor ne m’aide pas à ressentir cet effet de puissance, à l’instar d’un Dragon Ball Z : Tenkaichi 3, où j’avais vraiment cette impression de toute-puissance.

Retournons à la partie objective maintenant. Le système d’endurance est bon, mais est très mal géré. Vous êtes invincible durant le lancement d’une attaque ultime si votre barre d’endurance n’est pas vide. Ça ne peut paraître de rien dit comme ça, mais croyez-moi c’est une catastrophe face à l’IA ou même à d’autres joueurs. Et a contrario, si votre barre d’endurance est vide, vous n’avez plus qu’à subir les attaques de vos ennemis, vous ne pouvez absolument plus rien faire. Les combats ne sont pas vraiment entraînants, malgré leurs dynamismes, vous ne passerez pas de longues heures à jouer contre vos amis sur Xenoverse, même si le jeu n’est clairement pas dans cette optique-là.

La prise en main n’est cependant pas désagréable, et on s’y habitue vite après quelques minutes de jeu, le tutoriel étant assez efficace.

 

IV- Le fan service :

Car oui, il faut bien le dire, le plus gros point fort du jeu, l’incontestable d’ailleurs, de ce Dragon Ball Xenoverse, c’est le fan service! Juste le fait de créer son propre avatar, n’est-ce pas là un rêve de tout enfant ayant regardé Dragon Ball ? Se retrouver dans cet univers et de livrer vos propres combats. Le fait de trouver les techniques emblématiques du manga et de les donner à votre avatar, le fait de devenir l’élève de vos personnages préféré, apprenant à leurs côtés des techniques que vous avez admirées devant l’anime ou dans le manga. Tous les accessoires et costumes font référence à des éléments Dragon Ball qui dépassent parfois le cadre du jeu, piochant des éléments dans tout le manga : vous pourrez retrouver le bâton magique, première arme de Goku, qu’il avait avant même d’apprendre le Kaméhaméha (même s’il ne fait office que de décoration), la tenue de Turles (ou Thalès en VF), la tenue des soldats de Kula (ou Cooler si vous préférez). Le générique transpire cette envie de cibler d’abord les fans : mettre Cha-La Head Chala sur un fond endiablé avec les trois méchants principaux de Dragon Ball Z, Goku qui fait un Genkidama, Gohan qui fait un Kaméhaméha pour battre Cell, Végéta qui prépare ses vagues enchaînées contre Kid Buu, la vue de Mira et Towa ainsi que Demigra un cours instant… Le clip respire les années 90, et ça ne peut que vous replonger en enfance ou même dans cet univers si vous êtes fan de Dragon Ball.

Conclusion :

Bien qu’imparfait, Dragon Ball Xenoverse n’en reste pas moins un bon jeu Dragon Ball. Il reste inférieur à d’autres adaptions du manga culte d’Akira Toryama, mais a le mérite de proposer un vrai mode scénario, autre que résumé le manga en enchaînant combat sur combat, de s’essayer à quelque chose d’unique et de tester un nouveau type de gameplay. On aurait peut-être préféré un jeu plus complet, Dragon Ball Xenoverse donnant parfois l’impression de n’être qu’une bêta, s’essayant à de nouvelles choses pour préparer un gros jeu derrière. On espère que Dragon Ball Xenoverse 2 saura rectifier les quelques points noirs du premier opus et qu’on pourra profiter d’une expérience plus complète.

Je donne à Dragon Ball Xenoverse la note de 14/20.

 

Un petit bonus pour ceux qui auront eu le courage de rester jusqu’au bout : voici un AMV avec la musique d’introduction de Dragon Ball : Burstlimit, qui vous fera forcément frissonner.

 

C’était CerfOrage, je vous dis à bientôt pour un prochain article, bon jeu à tous !