E3 2018 : Death Stranding analyse en profondeur

E3 2018 : Death Stranding analyse en profondeur

2018-06-12 0 Par DebKazu

Cette nuit une fois de plus Kojima a surpris avec ce nouveau trailer présentant cinématique et gameplay de Death Stranding ! Oui vous avez bien lu : du gameplay ! La rédaction a donc décidé de décortiquer pour vous ce trailer qui révèle énormément de choses : sur le jeu, ses mécaniques, les nouveaux personnages etc.
Voici donc le trailer :

Dès les premières secondes du trailer il est possible d’entendre le nom complet du protagoniste donné par une femme. Notre héros s’appelle donc Sam Porter Bridges, ce qui n’est pas sans rappeler le badge que portait Guillermo Del Toro ou la portière de la voiture sous l’eau dans le trailer des game awards 2017.

Autre info ; à prendre avec des pincettes cependant ; notre héros serait sensible à l’eau. Dès lors où une goutte lui tombe sur la main, elle modifirait instantanément sa peau comme si la corrosion l’attaquait

Autre info sur le héros, Sam se definit lui même comme un vulgaire livreur : « I make deliveries that’s all. » que l’on peut traduire par : « Je fais des livraisons c’est tout. » Le côté très surnaturelle du titre laisse penser qu’il s’agisse de livraisons d’un monde ou d’une dimension à l’autre.

Côté gameplay : Sam dispose de plusieurs tenues et coupes de cheveux, ce qui semble être un système de personnalisation et/ou du multijoueur en une sorte de co-op géante

La démo du gameplay continue avec Sam Porter (qui décidément porte bien son nom) qui transporte ce qui s’apparente à un cadavre et qui rappelle une fois de plus le trailer des Game Awards de l’année dernière.


La présence de cordons noirs présents un peu partout sur les différents environnements confirme la thèse du « tout est lié » ! A noter que les petits insectes qui flottent dans les airs ajoutent du mystère de ce jeu déjà bien flou.


Comme l’indique ce passage, le joueur sera sans doute très chargé en livraison, avec des passages plutôt ardus à arpenter


Des guns fight seront également de la partie même si rien n’est définitivement dévoilé dans ce trailer. Le fait que monsieur Bridges sorte une arme laisse présager des phases de tir-action.


Un peu plus tard l’on retrouve notre protagoniste faisant une réaction cutanée qui n’est pas sans rappeler « la chair de poule. » Il s’agit surement d’un moyen pour « sentir » les espèces de monstres que l’on ne voit que par des traces de mains.


En plein suspens, c’est à Léa Seydoux d’intervenir afin d’aider Sam Porter. Quel rôle joue-t-elle? Personne ne le sait à part Kojima à l’heure où ses lignes sont écrites.


Cette dernière dit d’ailleurs quelque chose d’intéressant « …Fais attention ces choses ne nous lâcheront pas. Tout ce qu’elles touche vieilli à grande vitesse mais elles ne peuvent rien faire disparaître. Le passé ne s’en va pas… » Cette phrase confirme ce qui a été vu au GA 2017 mais également que le passé consume notre personnage. Ce qui se rapproche de Silent Hills : l’autre titre annulé, hélas, par Konami quand Kojima travaillait dessus.
Plus tard Sam « branche » le bébé le connectant à lui. Le petit objet lumineux sur le dos du protagoniste s’illumine alors et crée des battements comme le cœur de l’enfant. Cet objet sert également à voir les « choses » que l’on ne voyait pas avant.


Une petite phase de gameplay suit en montrant clairement un aspect Infiltration du jeu.
Le trailer se termine sur le visage d’un autre personnage qui n’est autre que Lindsay Wagner. Qui joue d’après ce qui est montré dans le trailer le rôle de la « femme » de notre héros en partie grâce à la photo que l’on voit en début.


Ce trailer est très intéressant et apporte pas mal de « réponses » sur ce jeu plutôt énigmatique. Tout converge vers une sorte de monde parallèle. Avec, apparemment, un passé lourd que le protagoniste doit porter sur ses épaules. Le choix du nom du personnage n’est finalement pas si hasardeux que cela. Ce trailer apporte aussi beaucoup plus de questions sur les antagonistes du jeu.
Pour finir aucune date de sortie n’a encore été donnée ni même une année de sortie.

DebKazu